Test :
Rutipa's quest 3
Rutipa's quest 3
Par Squalli
Assurément l’épisode le plus controversé de la série, de par ses nombreuses déceptions. RQ3 n’est tout de même pas ce qu’on peut appeler un jeu pourri, voyons ça de plus près…
Pour le scénario, il est question d’empêcher Varyable (qui se fait appeler Swytch plus tard dans le jeu) de s’emparer du pouvoir ou d’un truc dans le genre. Pour cela Alex a recours au retour dans le temps mais, une fois dans la capsule temporelle, se trompe dans les chiffres et atterrit en 2004 (au lieu de 4004). La suite n’a pas beaucoup de sens et de cohésion entre les parties, on se sent vraiment absent de toute compréhension et un manque sérieux d’explications suffisantes se fait ressentir après la partie de Saturnome. Il faut dire que c’est le concept de la série qui est à l’origine de ce problème : chaque participant suit ce qu’a fait le précédent dans l’histoire, reprenant background et péripéties antérieures. Du coup, quand arrive la partie de Jyuza, tout fout le camp ! Restent le gameplay et la réalisation…
Contrairement au RQ2, cette fois les graphismes et la réalisation en général sont assez homogènes. On ne peut pas dire que c’est magnifique, mais les participants ont respecté, sur cet aspect, le travail de leurs prédécesseurs. Pour le son également, rien n’est décousu. Pour un Rutipa, le seul gros inconvénient que l’on pourrait formuler est l’humour : il est quasi-inexistant et ce fut, sans trop me tromper, la plus grosse déception du public de la série à la sortie de l’épisode. Ne vous attendez pas à hurler de rire, donc…
Le gameplay est sans doute la partie la plus intéressante de RQ3 : les phases de jeu sont nombreuses, variées et même inédites pour un jeu Rm2k (merci Saturnome). Bref : avec plus de deux heures de durée de vie, Rutipa’s Quest 3 vous fera passer un bon moment si vous ne prêtez attention au scénario ou à la série en général.
Pour le scénario, il est question d’empêcher Varyable (qui se fait appeler Swytch plus tard dans le jeu) de s’emparer du pouvoir ou d’un truc dans le genre. Pour cela Alex a recours au retour dans le temps mais, une fois dans la capsule temporelle, se trompe dans les chiffres et atterrit en 2004 (au lieu de 4004). La suite n’a pas beaucoup de sens et de cohésion entre les parties, on se sent vraiment absent de toute compréhension et un manque sérieux d’explications suffisantes se fait ressentir après la partie de Saturnome. Il faut dire que c’est le concept de la série qui est à l’origine de ce problème : chaque participant suit ce qu’a fait le précédent dans l’histoire, reprenant background et péripéties antérieures. Du coup, quand arrive la partie de Jyuza, tout fout le camp ! Restent le gameplay et la réalisation…
Contrairement au RQ2, cette fois les graphismes et la réalisation en général sont assez homogènes. On ne peut pas dire que c’est magnifique, mais les participants ont respecté, sur cet aspect, le travail de leurs prédécesseurs. Pour le son également, rien n’est décousu. Pour un Rutipa, le seul gros inconvénient que l’on pourrait formuler est l’humour : il est quasi-inexistant et ce fut, sans trop me tromper, la plus grosse déception du public de la série à la sortie de l’épisode. Ne vous attendez pas à hurler de rire, donc…
Le gameplay est sans doute la partie la plus intéressante de RQ3 : les phases de jeu sont nombreuses, variées et même inédites pour un jeu Rm2k (merci Saturnome). Bref : avec plus de deux heures de durée de vie, Rutipa’s Quest 3 vous fera passer un bon moment si vous ne prêtez attention au scénario ou à la série en général.
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