Test :
Space Vikings 2000
Space Vikings 2000
Par SMB64
Temps joué : 5 h
Introduction
Si vous vous sentez l'âme d'un viking
Awards généraux et spécifiques
Meilleur Scénario (Note : 4/10)
Le scénario se situe en l'an 2000. C'est donc le futur. Un futur dans lequel l'humain a colonisé une portion de l'espace bien plus conséquente que sa malheureuse petite planète d'origine. Un espace colonisé dans lequel se trouve la planète Øland, où l'on démarre l'aventure en incarnant Ian, une nouvelle recrue toubib de la flotte de raids vikings. C'est le début de la saison des raids spatiaux et la première proie est un véhicule de la SNCF, la fameuse Société de Navettes Cargos Fulgurantes. Mais alors que tout se passait bien avec seulement un blessé grave, le hacker du gang découvre la raison pour laquelle la protection du vaisseau était minimale, et pour un viking spatial écolo, cette nouvelle est une tragédie entropique qu'il faut à tout prix endiguer tant que le projet n'en est encore qu'au début. Et un viking, ça frappe vite, ça frappe bien, et ça frappe fort, c'est pourquoi une réunion au sommet des tribus de space vikings des environs est organisée rapidement et un plan d'action est établi sans délai. Et c'est votre équipe qui est envoyée en première ligne pour une mission de sabotage pour laquelle il va falloir improviser pour réussir, et accessoirement, ça pourrait être pas mal de revenir en vie.Et ce dernier point n'est pas gagné, parce que le boss final est chaud, sa maman l'ostréicultrice. En toute honnêteté, je n'avais pas l'impression d'être en sous-level (tout le monde à 13), je faisais les combats normaux sans difficulté, ça devenait juste lourd sur la fin, il y en avait trop, du coup je les fuyais autant que possible, mais pas de quoi perdre l'équivalent d'un niveau. Et pourtant, ce boss final a été un calvaire à vaincre. J'y ai sérieusement passé plus d'une heure et demie, en quatre tentatives, la première ayant accidentellement été très fructueuse, mais pas assez, les deux suivantes des hécatombes, et la dernière fut à la fois bien pensée et la chance était au rendez-vous, car il a fallu pas mal de chance pour arriver à le battre. Ce salopard peut attaquer deux fois par tour, il a tendance à utiliser une attaque qui laisse un unique PV à un personnage, et une autre attaque qui inflige de lourds dégâts à deux cibles apparemment au hasard. Pour peu que l'IA soit chanceuse, il vous zigouille vos rangs au compte-gouttes sans trop avoir de recours.
La seule bonne méthode consiste à le paralyser très vite. Mais pour ça, il faut de la chance, et le seul personnage qui peut paralyser, c'est le meilleur healer... Donc il ne faudrait pas échouer trop longtemps à le paralyser. Et bien que la paralysie dure longtemps, elle finit par s'estomper, et si on ne peut lui réinfliger l'état rapidement, bardaf, c'est l'embardée. D'autant qu'à un moment, il subit une guérison totale scénarisée, probablement à la moitié de sa vie.
Alors, je veux bien que c'est le boss final, que c'est raccord scénaristiquement parlant qu'il soit un obstacle compliqué à franchir, et qu'il doit donc transpirer la puissance, mais là, ça suintait un peu le désespoir aussi...
Meilleur Univers (Note : 6/10)
La technologie des sphères de Dyson a permis aux humains de conquérir un espace bien plus large que leur petit système stellaire que nous connaissons. Des mégacorporations privées gèrent la construction, la maintenance et la production d'énergie de ces superstructures.Les pirates vikings de l'espace, dont ceux établis sur Øland, vivent principalement de gras et de bière fraîche. Ce sont des Hommes, des vrais, des durs, qui vivent dans le froid et chassent leur nourriture à grands coups d'explosifs. Ce mode de vie respectueux des traditions et en harmonie avec la nature est cependant menacé par les mégacorporations, parce qu'en plus de l'excentricité orbitale de Øland qui lui inflige des hivers globaux plutôt longs et ardus, les sphères de Dyson sont conçues pour capter l'énergie directement à la source, mais forcément, cela réduit d'autant l'énergie émise par l'étoile dans l'espace et donc la chaleur qu'elle fournit aux planètes environnantes. Les habitants d'Øland n'ont donc guère d'autre choix que de recourir à la piraterie quand vient l'hiver. Et leurs cibles de prédilection sont naturellement ces mégacorporations.
Les mégacorporations n'ont que peu d'égard envers la nature, seul compte le profit que la nature peut leur apporter, comme toute mégacorporation qui se respecte, et les éco-terroristes que sont les space vikings sont une épine dans le pied qui les empêche de maximiser les profits, parce qu'apparemment des accords existent pour ne pas surexploiter l'énergie des étoiles à coups de Dyson sphères. Histoire que les planètes habitables le restent, j'imagine.
Meilleurs Personnages (Note : 4,5/10)
Les personnages ont des personnalités légèrement différentes, quand bien même ils sont tous vikings de l'espace affectés au même vaisseau de raid, et vivent dans la même tribu. Ian semble être un ado gâté absolument pas prêt pour vivre sans sa maman, Hain semble plus responsable et file chasser à bouffer à son père pour lui faciliter la survie durant la saison en son absence, même si pour ça il met tout le monde en retard pour le départ. Klaas est bourru mais prend à cœur son boulot de superviseur des jeunots. Mais le plus marquant, c'est évidemment le pilote du vaisseau, Pitt, pour plusieurs raisons, dont une qui saute vite aux yeux et qu'il est probablement le seul à ne pas voir, pour cette même raison récursive. C'est par ailleurs un kéké et un pilote hors pair, ces deux aspects de sa personnalité étant probablement interdépendants.Ces gros durs sont livrés avec une panoplie appelée "space pyjama", qui apparemment tient chaud pendant les hivers rigoureux d'Øland. D'un côté, ils sont barbares, aiment le gras et la bière, pillent et tuent pour survivre et ne sont pas à un juron près, et de l'autre, ils aiment le confort de leur pyjama au point de partir raider l'ennemi avec.
Moi j'aime bien, les décalages de ce genre.
Par contre, Sonya, je crois que c'est le nom de la cheffe du vaisseau, je ne sais pas trop si c'est un profil de chef, elle me semble bien trop neutre. Après, on interagit assez peu avec elle, ça vient peut-être de là.
Meilleure Introduction, mise en scène, narration et cinématique (Note : 6/10)
J'ai vraiment du mal à me souvenir des détails de cette catégorie-ci, et j'ai tendance à penser que c'est un bon signe, parce que si je n'ai rien remarqué qui choque, c'est qu'en fait, c'était pas mal. Je me souviens vaguement de l'intro, qui t'annonce directement la couleur, à savoir que ça va être de l'humour avant tout, et limite la musique de l'écran titre te fait comprendre avant même l'intro que ça va être rock'n'roll. Mais au-delà de l'intro, la petite séquence de réunion intertribale ou la phase psychologie manipulative de Pitt, je ne me souviens pas vraiment de mise en scène ou de cinématique, alors que je suis certain qu'il y a eu des transitions entre les phases où j'avais le contrôle, puisque je me souviens tout de même l'avoir perdu quelques fois.Je donne donc une bonne note parce que c'est le signe que ça n'a été ni trop léger, ni trop lourd en narration et cinématiques. Et si la mise en scène est discrète, c'est qu'elle est bien faite.
Mais je n'abuse pas non plus parce que j'imagine aussi que si ça avait été spectaculaire, j'aurais été plus marqué.
Meilleur Gameplay (Note : 4/10)
Pour le gameplay, on est sur du JRPG assez classique, on a des petits passages réflexion pour lesquels il faut rallumer son cerveau parce qu'un viking, c'est bourrin, mais ce n'est pas stupide, et de toute façon la sélection naturelle a tendance à faire disparaître les stupides dans le vide spatial, de sorte que ceux qui restent sont forcément au moins un cran au-dessus de ceux-là.Par contre, la difficulté n'est pas vraiment calibrée pour un viking seul, sur Øland, et si on tarde trop à trouver notre premier partenaire Hain, on peut se retrouver en mauvaise posture, surtout si on n'a pas de bol et qu'on croise beaucoup plus d'ennemis que de raison. Perso, mon 1er game over a été contre de bêtes monstres. Pas les plus faibles, mais pas les plus forts non plus, encore que les plus forts s'étaient fait les dents sur moi avant qu'un combat ultérieur ne m'achève. D'ailleurs même à 2, ça reste tendu, avec un healer et un dps, mais c'est bien plus permissif et ne devrait pas déboucher sur une défaite. À partir du 3e on se sent mieux, et le 4e arrive très vite après et là, on peut commencer à trouver les combats d'Øland trop faciles. Et heureusement, ça m'a permis de farmer un peu l'expérience en enchaînant quelques combats et en achetant des consommables au bar ou au vendeur près du hangar pour des soins pas bon marché. Ce qui m'a aussi permis de relativement bien me stuffer avant de partir en saison de raid, parce que l'environnement hostile d'Øland m'avait foutu les boules quant à la suite... L'espace est toujours plus hostile qu'une planète.
Ça aurait pu être intéressant que les combats soient légèrement plus softs tant qu'on n'a pas obtenu notre 1er allié, parce que c'est bien trop tendu avec Ian Solo (huhu). Ça, ou la présence d'une quelconque forme de soin total autre qu'à coup de consommables. Une auberge, le lit de Ian, discuter avec sa mère, peu importe. Un full heal cheap ou gratuit.
Le seul full heal gratuit répétable que j'ai pu rencontrer, c'est au milieu du train spatial, près de l'entrée. Un PNJ médic comme le héros s'occupe d'un type mourant, si on lui parle, il nous soigne aussi vu qu'on a apparemment mauvaise mine, encore que pour certains c'est même pas leur tête des mauvais jours.
J'ai d'ailleurs probablement légèrement abusé de la présence de ce personnage pour farmer un peu plus la puissance parce que je me trouvais faible dans mes 1ers combats dans le train. Et c'est pourquoi je ne pensais vraiment pas avoir un trop bas niveau face au boss final.
L'autre full heal gratuit que j'ai pu remarquer, c'était juste après avoir battu le 1er boss avec Hain, et c'était pas du luxe, moi qui m'économisais lors des premières fois parce que j'arrivais près de Hain en sale état, je devais cramer mes consommables pour être en état pour le boss, bah je gardais de quoi faire le retour, à l'origine, mais après être mort 2x face à ce boss, je me suis donné à 100 % pour le fumer et j'ai été surpris de sortir du combat en pleine forme...
Meilleur Graphisme, level design et visuel (Note : 5/10)
Le level design ne me semble pas mauvais, à ces quelques détails près que Øland est énorme et qu'on s'y perd pendant qu'on cherche Hain à tâtons, avec au mieux un indice qui dit qu'il est parti pêcher, et donc on longe la rivière, mais c'est là que vivent les monstres, et on se fait pas mal attaquer en tant que healer solo, et la fuite est un pari risqué ; et également, un peu plus tard, à bord du train, un couloir large d'une case est le seul passage entre deux sections du train, passage dans lequel un PNJ peut s'engager et l'arpenter à son rythme, ce qui peut nous coincer de l'autre côté quelques minutes. Or on doit un peu fouiller le train à un moment, et si on ne sait pas trop ce qu'on cherche et encore moins où, vu qu'on doit se débrouiller, on risque de passer plusieurs fois à cet endroit, et, si on n'a pas de bol, à un rythme où ce PNJ sera revenu dans le passage étroit. Ou si on est un rat et qu'on veut retourner voir le PNJ healer, comme moi.Quant aux graphismes, il y a pas mal d'éléments qui me semblent ne pas faire partie des RTP, mais j'ai joué à bien trop peu de jeux RPG Maker MV pour en être certain. Cela dit, les crédits sont une source fiable à ce sujet, et ils sont très bien documentés. Et on y découvre que quelques tilesets, les sprites de l'équipe de héros, les facesets et les battlers ont été créés ou édités par l'auteur, et sont donc originaux.
Par ailleurs, il y a beaucoup d'objets à trouver en fouillant les maps, et ça j'adore. Tout l'équipement et les consommables que je trouve au sol, dans une caisse ou une armoire, c'est autant d'argent qui ne quitte pas mes poches.
Meilleure Ambiance sonore (Note : 5,5/10)
Pour l'ambiance sonore, c'est très rock'n'roll de bout en bout. Et bien que la plupart voire l'intégralité des sons ne semblent pas provenir de RTP, elles ne sont pas originales pour autant, en ce qu'elles n'ont pas été créées spécifiquement pour le jeu, et semblent être des sons sous licence libre prélevés sur internet. Le tout colle toutefois très bien à l'ambiance du jeu.Il semblerait d'ailleurs, dans les remerciements du jeu, que cela s'explique par l'inverse, à savoir que c'est en fait certaines de ces musiques qui ont inspiré le jeu.
Meilleur RPG, A-RPG et J-RPG (Note : 5,5/10)
En tant que JRPG, le jeu n'a pas de grandes prétentions. Les combats sont rythmés par la musique et les bruitages, mais le gameplay est tout ce qu'il y a de plus classique. À la limite, la difficulté plus élevée que le RPG moyen le démarque légèrement, et dans la mesure où un peu de réflexion et une gestion moins passive des consommables et des skills aide à mieux surmonter cette difficulté, on peut dire que ce n'est pas un mauvais calibrage, tant qu'on ne parle pas du début un peu hasardeux à un seul personnage contre potentiellement 2 ou 3 monstres, ni du boss final. Ces autres combats ne se finissent pas en 1 coup et 1 sort comme dans beaucoup de classiques du genre, mais c'est simplement parce que ces classiques ont au contraire des combats no-brainers en dehors des boss (et encore, y a des boss qui sont pas plus relevés), pour lesquels il suffit de spammer l'attaque de base pour décimer l'ennemi rapidement et sans dépenser un point de magie. Le souci étant que ces no-brainers sont devenus la norme, et donc le risque est grand de rebuter les joueurs casu qui ne vont fouiller nulle part et foncer vers l'objectif de quête principale sans acheter de consommables ni équipement parce qu'ils s'attendent à démarrer suffisamment équipés pour affronter le monde.Franchement, en dehors de ce boss final éclaté et des 2 premiers game over que j'ai pris pour avoir été trop parcimonieux avec mes consommables en début de partie, je suis content de la difficulté du jeu qui m'interdit de débrancher mon cerveau pour jouer, sous peine d'en faire les frais.
On est aussi sur un thème moins classique d'objectif salvateur à atteindre, parce qu'on n'est pas vraiment là pour sauver le monde, la princesse ou accomplir la prophétie des cristaux; l'objectif ultime est une lutte pour la préservation d'un mode de vie menacé. Il ne s'agit pas de se battre parce que c'est un devoir moral de bon citoyen, il s'agit avant tout de faire valoir ses droits à une vie paisible ancrée dans la tradition. Alors ouais, c'est de la piraterie et de l'éco-terrorisme, MAIS, ils z'avaient qu'à être plus raisonnables dans leur exploitation des ressources naturelles s'ils ne voulaient pas subir des raids vikings saisonniers, aussi...
Meilleur jeu Fantasy / Dark Fantasy (Note : n/a)
Meilleur Puzzle, Réflexion / Enigmes (Note : n/a)
Meilleur jeu de Fiction, Science-Fiction, Dystopie (Note : 5/10)
En termes de Sci-Fi, on est plutôt dans la parodie de Sci-Fi. Pour commencer, on est en 2000, dans le Futur. L'an 2000 a longtemps été fantasmé comme un futur qui allait être tellement avancé technologiquement que l'humain moyen voyagerait ou vivrait dans l'espace, aurait un robot humanoïde ménager et des véhicules volants ou lévitants. Ici, on a bel et bien un train spatial de fret et de passagers (on n'en croise pas, mais on peut acheter des tickets de transport passagers dans le train, dont la fameuse carte Kiwi), des robots s'occupent de la maintenance à bord dudit train, et Pitt contrôle des drones au combat. Les mégacorporations ont des acronymes de sociétés contemporaines françaises, comme EDF ou SNCF. Les robots tordeurs à bord du train nous montrent leur cul étincelant en nous demandant si c'est du téflon, pour nous aveugler.Il y a tout plein de références du genre qui font qu'on est très clairement plus sur une Sci-Fi parodique qu'une pure Sci-Fi qui se voudrait être réaliste au maximum, avec un futur avancé projeté depuis notre présent et non un passé nommé futur et qui colle à la vision futuriste d'un passé antérieur, comme dans le cas présent.
Les narrateurs sont par ailleurs les frères Bogdanov, qui étaient des passionnés de Sci-Fi, ce qui ajoute un peu de cachet à la narration.
Meilleur jeu d'Horreur, Surnaturel et Paranormal (Note : n/a)
Meilleur Drame, Relation, Romance (Note : n/a)
Meilleur Point & Click / Visual Novel (Note : n/a)
Meilleur jeu aux Graphismes Originaux (Note : n/a)
Meilleur jeu aux Musiques Originales (Note : n/a)
Conclusion (Note totale : 4/10)
Le jeu est fun, du moins, si on est prêt à y jouer comme un hardcore gamer et pas sans prise de tête, ce qui, généralement, colle mieux aux jeux fun parodiques. Du coup, c'est assez difficile d'envisager ce jeu concourir pour le titre de meilleur jeu de la session. Je n'ai pas joué à beaucoup d'autres et ne peux donc même pas affirmer qu'il ferait tout de même partie des 50 meilleurs pour cent.Et ce boss final de ses grands morts... J'ai déjà eu à affronter un tel boss final dans un autre jeu d'une session précédente, je crois que c'était aussi un jeu MV. J'aurais presque envie de croire que les boss finaux de MV sont livrés avec un script pour balancer des skills OP et attaquer 2x par tour, parce que je me souviens vaguement qu'il attaquait aussi 2x par tour et me mettait vraiment mal avec ses skills cheatées.
Personnellement, j'ai horreur de ces mécaniques de prolongation artificielle de la durée de vie d'un jeu. Ça les rend Nintendo-hard. Comme à l'époque de la NES. Si la chance influe peu ou pas du tout sur la baston, ma foi, si on perd, c'est qu'on est nul, quand bien même il faudrait avoir des réflexes de fou pour gagner. Mais si, pour vaincre, il faut absolument cette dextérité surhumaine ET de la chance, on ne peut plus accuser le joueur de ne pas être assez bon.
Et comme je l'ai dit, pour vaincre ce boss final, il faut bien trop de chance. Grindre les levels ne changerait que le nombre de tours nécessaires à sa défaite en le tapant plus fort, mais la mécanique des skills du boss fait qu'il peut nous 2-shot quel que soit notre niveau, quand bien même on serait au niveau maximal.
Ce genre de boss insurmontable tue le fun. Je l'ai battu, mais avec beaucoup de chance, et c'était mon dernier essai avant d'abandonner l'idée de le battre. Et je ne savais même pas que c'était le boss final avant de voir les crédits peu après.
Le jeu n'est pas mauvais, si la difficulté est recalibrée quand l'équipe est incomplète ainsi que ce boss final. Mais en l'état, et bien que j'aie apprécié pas mal de choses du jeu, je suis sûr qu'il rebutera au moins 80 % des joueurs qui s'y essayeraient.
Remarques diverses
- - Le jeu est prévu pour un clavier Qwerty et les touches ne semblent pas paramétrables, vous avez donc tout intéret à pouvoir basculer en Qwerty pour jouer.
Bon, techniquement, vous pourriez jouer en restant en Azerty, mais en utilisant les touches Enter pour valider et Esc pour annuler et ouvrir le menu. Ce qui n'est pas aussi pratique que d'avoir ces deux touches côte à côte sur W et X.
Une configuration de touches pour clavier Azerty aurait été préférable, le jeu étant français (ou tout du moins, il est jouable en français). Vous voilà prévenus, et un clavier azerty en vaut deux. - - Les crédits sont très bien documentés, citant l'auteur, la source, et la licence d'utilisation accordée. C'est un plaisir de parcourir des crédits structurés et exhaustifs.
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