Test :
Des Liens Communs
Des Liens Communs
Par AristA
Des liens communs
Premier jeu à testé choisi de ma part, Des Liens Communs de KH. J’avais déjà prétesté le jeu, et je pouvais ENFIN développer un peu plus les divers points de ce jeu, enfin, de cette courte cinématique.
Awards Mineurs
Systèmes customs 0.5/5
Le jeu n’en comporte quasiment pas, si ce n’est celui de l’écran titre, présents dans de très nombreux projets. La simplicité et le nombre si restreint de ce genre de systèmes valent cette note si basse ; c’est à moitié hors sujet en fait. D’autant plus que la fonction du menu est juste jouer/quitter, vu que l’on utilise pas les sauvegardes actuellement.
Level design/Mapping 2/5
Si le mapping est très correct et même parfois bon, le nombre de cartes différentes est si restreint que, finalement, on a du mal à juger la qualité globale. C’est comme si on regardait un jeu de screenshoots, il n’y en a pas assez pour dire que ce jeu a globalement un bon mapping ou un mauvais mapping. Pour le level design, c’est également très difficile de juger : il n’y a qu’une seule carte où l’on peut contrôler le personnage, et c’est l’une des plus brèves du jeu. Il aurait mieux fallut étirer plus en longueur les moments contrôlables sur carte, d’autant plus que l’auteur en a eut le temps, le projet date de quelques années déjà.
Univers 1.75/5
Comment juger un univers sur si peu de contenu ? J’ai malgré tout essayé. L’univers se veut classique et même bourré de cliché, j’oserais dire parodique : le jeu reprend l’ambiance qui se dégageait des jeux des années 2000, c’est donc voulu. Cristaux magiques, héros élus, princesse au gros lolos et compagnie sont donc de la partie. Hélas, on apprend tout cela dans le descriptif du jeu ou bien dans les cinq premières secondes du jeu, il est donc malvenu de parler d’univers. La fin de cette « démo » laisse présager une intrigue tout autre (avec des méchants très méchants) et un développement de tout cet univers jusqu’à son paroxysme, mais justement : il n’y a pas de suite. Nous n’avons ainsi pas l’occasion de découvrir ledit univers. C’en est presque un hors-sujet.
Humour 1.5/5
Non sérieusement ? À part quelques blagues vaseuses sur les roploplos du seul personnage féminin de la part du camarade du héros, il n’y a rien de vraiment drôle. Donc bon, autant acheter un carambar porno quoi.
Introduction/départ 4/5
Très satisfaisant sur ce point. C’en est même le point fort de cette démo, et même ce qui mène le jeu à sa perte. Pour vous dire, l’introduction étant si dynamique et attractive qu’on en est déçu que ce ne soit pas un jeu d’une heure ou deux. Bien que le nombre de phases vraiment jouable soit moindre, on appréciera quand même les grands efforts de mise en scène et tout le soin apporté au moindre dialogue : mouvement des personnages, animation du charset, effets sonores, et cætera. Un grand soin a été donc apporté au départ qui constitue l’essentiel du jeu, en fait.
Awards Secondaires
Gameplay 2.5/5
Le système de combat, bien que celui par défaut, est maîtrisé. Ce n’est pas trop difficile et les ennemis ne sont pas trop déséquilibrés par rapport à la puissance de notre héros. J’ai beaucoup aimé le mini-passage qui consiste à appuyer frénétiquement sur la touche espace, ça ressemblait légèrement à de la masturbation de clavier, mais c’est ça qui est bien. Dans l’ensemble, le tout n’est pas frustrant : on ne peut ainsi pas mourir, ou alors c’est qu’on fait exprès. Les commandes ne sont pas vraiment exotiques. On regrettera juste le fait de ne pas beaucoup jouer, alors que c’est tellement bon ! C’est ce dernier point qui pénalise la note à cet award.
Histoire 1/5
Il n’y a pas d’histoire, du moins on n’a pas le temps de la découvrir. Une tonne d’événement nous tombe d’un coup mais les liens logiques entre eux sont quasi-inexistants à cette phase du jeu. L’histoire n’est pas menée à terme, c’est vraiment frustrant sérieusement (en plus y’a un dinosaure donc ça devrait présager une bonne histoire) ! Le départ de l’histoire existe, il manque juste ce qu’il y a après le « Il était une fois ». Cela est en grande partie dû à la durée de vie du jeu, trop courte.
Âme du jeu 3.75/5
Ce jeu m’a fait mouiller doucement. En effet, tout est réglé au détail près pour nous faire aimer ce projet. Après avoir joué à ce jeu, j’étais tout guilleret et souriant, la bave aux lèvres et un sourire niais ornait mon visage. C’est un peu comme si on voyait un gros bonbon dans une vitrine, le gros bonbon étant en revanche le reste du jeu. Mais c’est très sympathique de regarder ce bonbon, ça vous don envie et vous donne des frissons, des sentiments.
Son 2.5/5
Disons que l’ensemble est bien adapté aux scènes, plutôt cohérent (malgré un morceau de Korn, il me semble, un peu osé) mais… c’est très classique, simpliste, basique. Il n’y a rien d’extraordinaire mais à l’inverse rien de vraiment mauvais. Il manque la petite étincelle qui nous fera aimer l’ambiance musicale.
Graphismes 2.75/5
Majoritairement RTP-like au niveau des characters et rip/Mac&Blue au niveau des chipsets, les graphismes sont… euh… début des années 2000 ? Dans un sens c’est réussi car c’était le but, mais dans un autre on aimerait bien voir autre chose de la part d’un auteur de la 202ème décennie. Correct mais pas incroyable, un peu comme le son en fait.
Meilleur Jeu
Verdict : 2.5/5
Clairement, pour moi ce n’est pas une grande révélation comme jeu, mais un tout à fait classique qui peuple la jungle du Making en bande. Ce jeu aurait pu décrocher une bien meilleure note s’il avait été porté à terme, et non pas laissé en tant qu’embryon. On ressent clairement que durant ces deux années de grossesse avant sa première présentation KH n’a pas développé grand-chose, il fait donc fausse couche. C’est dommage, très dommage. Bon jeu malgré tout.
Premier jeu à testé choisi de ma part, Des Liens Communs de KH. J’avais déjà prétesté le jeu, et je pouvais ENFIN développer un peu plus les divers points de ce jeu, enfin, de cette courte cinématique.
Awards Mineurs
Systèmes customs 0.5/5
Le jeu n’en comporte quasiment pas, si ce n’est celui de l’écran titre, présents dans de très nombreux projets. La simplicité et le nombre si restreint de ce genre de systèmes valent cette note si basse ; c’est à moitié hors sujet en fait. D’autant plus que la fonction du menu est juste jouer/quitter, vu que l’on utilise pas les sauvegardes actuellement.
Level design/Mapping 2/5
Si le mapping est très correct et même parfois bon, le nombre de cartes différentes est si restreint que, finalement, on a du mal à juger la qualité globale. C’est comme si on regardait un jeu de screenshoots, il n’y en a pas assez pour dire que ce jeu a globalement un bon mapping ou un mauvais mapping. Pour le level design, c’est également très difficile de juger : il n’y a qu’une seule carte où l’on peut contrôler le personnage, et c’est l’une des plus brèves du jeu. Il aurait mieux fallut étirer plus en longueur les moments contrôlables sur carte, d’autant plus que l’auteur en a eut le temps, le projet date de quelques années déjà.
Univers 1.75/5
Comment juger un univers sur si peu de contenu ? J’ai malgré tout essayé. L’univers se veut classique et même bourré de cliché, j’oserais dire parodique : le jeu reprend l’ambiance qui se dégageait des jeux des années 2000, c’est donc voulu. Cristaux magiques, héros élus, princesse au gros lolos et compagnie sont donc de la partie. Hélas, on apprend tout cela dans le descriptif du jeu ou bien dans les cinq premières secondes du jeu, il est donc malvenu de parler d’univers. La fin de cette « démo » laisse présager une intrigue tout autre (avec des méchants très méchants) et un développement de tout cet univers jusqu’à son paroxysme, mais justement : il n’y a pas de suite. Nous n’avons ainsi pas l’occasion de découvrir ledit univers. C’en est presque un hors-sujet.
Humour 1.5/5
Non sérieusement ? À part quelques blagues vaseuses sur les roploplos du seul personnage féminin de la part du camarade du héros, il n’y a rien de vraiment drôle. Donc bon, autant acheter un carambar porno quoi.
Introduction/départ 4/5
Très satisfaisant sur ce point. C’en est même le point fort de cette démo, et même ce qui mène le jeu à sa perte. Pour vous dire, l’introduction étant si dynamique et attractive qu’on en est déçu que ce ne soit pas un jeu d’une heure ou deux. Bien que le nombre de phases vraiment jouable soit moindre, on appréciera quand même les grands efforts de mise en scène et tout le soin apporté au moindre dialogue : mouvement des personnages, animation du charset, effets sonores, et cætera. Un grand soin a été donc apporté au départ qui constitue l’essentiel du jeu, en fait.
Awards Secondaires
Gameplay 2.5/5
Le système de combat, bien que celui par défaut, est maîtrisé. Ce n’est pas trop difficile et les ennemis ne sont pas trop déséquilibrés par rapport à la puissance de notre héros. J’ai beaucoup aimé le mini-passage qui consiste à appuyer frénétiquement sur la touche espace, ça ressemblait légèrement à de la masturbation de clavier, mais c’est ça qui est bien. Dans l’ensemble, le tout n’est pas frustrant : on ne peut ainsi pas mourir, ou alors c’est qu’on fait exprès. Les commandes ne sont pas vraiment exotiques. On regrettera juste le fait de ne pas beaucoup jouer, alors que c’est tellement bon ! C’est ce dernier point qui pénalise la note à cet award.
Histoire 1/5
Il n’y a pas d’histoire, du moins on n’a pas le temps de la découvrir. Une tonne d’événement nous tombe d’un coup mais les liens logiques entre eux sont quasi-inexistants à cette phase du jeu. L’histoire n’est pas menée à terme, c’est vraiment frustrant sérieusement (en plus y’a un dinosaure donc ça devrait présager une bonne histoire) ! Le départ de l’histoire existe, il manque juste ce qu’il y a après le « Il était une fois ». Cela est en grande partie dû à la durée de vie du jeu, trop courte.
Âme du jeu 3.75/5
Ce jeu m’a fait mouiller doucement. En effet, tout est réglé au détail près pour nous faire aimer ce projet. Après avoir joué à ce jeu, j’étais tout guilleret et souriant, la bave aux lèvres et un sourire niais ornait mon visage. C’est un peu comme si on voyait un gros bonbon dans une vitrine, le gros bonbon étant en revanche le reste du jeu. Mais c’est très sympathique de regarder ce bonbon, ça vous don envie et vous donne des frissons, des sentiments.
Son 2.5/5
Disons que l’ensemble est bien adapté aux scènes, plutôt cohérent (malgré un morceau de Korn, il me semble, un peu osé) mais… c’est très classique, simpliste, basique. Il n’y a rien d’extraordinaire mais à l’inverse rien de vraiment mauvais. Il manque la petite étincelle qui nous fera aimer l’ambiance musicale.
Graphismes 2.75/5
Majoritairement RTP-like au niveau des characters et rip/Mac&Blue au niveau des chipsets, les graphismes sont… euh… début des années 2000 ? Dans un sens c’est réussi car c’était le but, mais dans un autre on aimerait bien voir autre chose de la part d’un auteur de la 202ème décennie. Correct mais pas incroyable, un peu comme le son en fait.
Meilleur Jeu
Verdict : 2.5/5
Clairement, pour moi ce n’est pas une grande révélation comme jeu, mais un tout à fait classique qui peuple la jungle du Making en bande. Ce jeu aurait pu décrocher une bien meilleure note s’il avait été porté à terme, et non pas laissé en tant qu’embryon. On ressent clairement que durant ces deux années de grossesse avant sa première présentation KH n’a pas développé grand-chose, il fait donc fausse couche. C’est dommage, très dommage. Bon jeu malgré tout.
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