Test :
Dyhortfight chapitre 4 (démo)
Dyhortfight chapitre 4 (démo)
Par Mikltov
Introduction : Un jeu à éviter tellement qu’il laisse un goût amer dans l’esprit.
AWARDS MAJEURS
Systèmes : (1.5/5)
Un système se doit être simple, clair et sans superflu. Dans Dyhort, voilà comment faire ce qu'on ne
doit pas faire. Pas de tutoriel, tout est obscurescence et l'ergonomie n'est vraiment pas adaptée.
Tout se base sur le visuel mais cela ne donne aucune indication. Le beau ne donne pas le fonctionnel !
Cependant, le fait d’avoir différents gameplay qui se complètent bien augmente un peu le niveau.
Histoire : (1/5)
C’est simple… Vous prenez les Shonen actuels et les jeux vidéo pour adolescent qui frisent le Zéro absolu, vous les regroupez et vous avez Dyhort. Peu importe la recette, la sauce ne prendra jamais!
Âme du Jeu : aucune note
Je ne comprends rien à cet award. Il ne sert à rien, ne veut strictement rien dire et surtout n’est absolument pas un critère objectif pour tester.
Conception sonore : (0.5/5)
Quand on choisit des musiques de jeux vidéo et de jeux vidéos, on regarde non seulement que ça va avec la scène qu’on veut, mais aussi à la cohérence entre elle. Pourquoi mettre du Naruto avec du Guilty Gear ? Aucune autre piste ne fait de transition entre OST et Hard Rock, notamment!
Graphismes : (1/5)
Voilà aussi l’exemple de choses qu’il ne faut pas faire dans Dyhort. Les graphismes ne sont pas cohérents entre eux, que ce soit au niveau des chipsets ou des personnages. Le shading est complètement différent. Enfin, l’utilisation de fogs ne donne absolument pas l’effet voulu en matière d’ambiance.
Seul les graphismes au niveau des combat sauvent, parce que l’auteur a utilisé la base de King of Fighters (jusqu’au XI), en la modifiant pour ses personnages.
AWARDS MINEURS
Univers : 1/5
Dyhort où comment prendre les univers d'énormément de manga, sans regarder la cohérence entre eux.
On mélange du Full Metal Alchemist, du Naruto, du Hunter X Hunter etc... pour donner un truc sans saveur auquel on s'ennuie et s'indigne devant l'illogisme de l'oeuvre.
Personnages : 1/5
Le bon point est qu'on suit trois points de vue, un peu comme Shining Force 3 ou Suikoden 3 avec leur
Trinity Sight System. Cependant, et cela est fort regrettable est que, dans le scénario, presque rien
ne lie les trois personnages principaux.
Autant que, dans Suikoden 3 par exemple, deux personnages étaient liés par la haine, car ils étaient dans deux camps opposés et liés par un personnage secondaire mais important, là, on a rien du tout. Et le reste du casting secondaire frise l'inutilité.
Le caractère est différent pour les protagonistes principaux, ce qui est un bon point… D’ailleurs, le seul…
Scénario : 1/5
Le scénario mélange à la fois du Naruto, du Hunter X Hunter, du Kingdom Heart etc...
Autant l'idée d'utiliser trois points de vue est excellente, car donnant davantage de mystère et de
complexité dans le scénario, autant la manière de la faire pèche car on tombe dans le classique absolu.
Level-design : 1.5/5
Le principal défaut du level-design vient du fait que les maps sont inutilement grandes. Par exemple,
le village du début est la définition parfaite de map trop grande et de murs invisibles. La définition même
d'un village est que, souvent, les habitations sont regroupées ensemble surtout si l'économie du village
ne vient pas de l'agriculture. De plus, les fogs sont mal utilisés et ne donnent pas du tout l'ambiance
désirée par l'auteur.
Humour : 0/5
Ah bon, il y a de l'humour ? Je n'en ai pas vu du tout...
Systèmes : 1.5/5
Un système se doit être simple, clair et sans superflu. Dans Dyhort, voilà comment faire ce qu'on ne
doit pas faire. Pas de tutoriel, tout est obscurescence et l'ergonomie n'est vraiment pas adaptée.
Tout se base sur le visuel mais cela ne donne aucune indication. Le beau ne donne pas le fonctionnel !
Cependant, le fait d’avoir différents gameplay qui se complètent bien augmente un peu le niveau.
Originalité : 0/5
Le fait de pomper sur divers mangas et animés, même sur les noms, et sans que ce soit un fan-game,
n'est pas du tout une originalité. Et niveau système non plus.
Conclusion : Dyhort joue trop dans la non-originalité et cela se sent. On n’est absolument pas perdu au niveau histoire ou parfois même gameplay. Mais, cela donne au jeu aucune saveur et aucune profondeur. Si, selon le titre, il y a eu trois autres opus avant… Bah, autant dire que j’aimerai pas les faire non plus…
Note Globale : 1/5
AWARDS MAJEURS
Systèmes : (1.5/5)
Un système se doit être simple, clair et sans superflu. Dans Dyhort, voilà comment faire ce qu'on ne
doit pas faire. Pas de tutoriel, tout est obscurescence et l'ergonomie n'est vraiment pas adaptée.
Tout se base sur le visuel mais cela ne donne aucune indication. Le beau ne donne pas le fonctionnel !
Cependant, le fait d’avoir différents gameplay qui se complètent bien augmente un peu le niveau.
Histoire : (1/5)
C’est simple… Vous prenez les Shonen actuels et les jeux vidéo pour adolescent qui frisent le Zéro absolu, vous les regroupez et vous avez Dyhort. Peu importe la recette, la sauce ne prendra jamais!
Âme du Jeu : aucune note
Je ne comprends rien à cet award. Il ne sert à rien, ne veut strictement rien dire et surtout n’est absolument pas un critère objectif pour tester.
Conception sonore : (0.5/5)
Quand on choisit des musiques de jeux vidéo et de jeux vidéos, on regarde non seulement que ça va avec la scène qu’on veut, mais aussi à la cohérence entre elle. Pourquoi mettre du Naruto avec du Guilty Gear ? Aucune autre piste ne fait de transition entre OST et Hard Rock, notamment!
Graphismes : (1/5)
Voilà aussi l’exemple de choses qu’il ne faut pas faire dans Dyhort. Les graphismes ne sont pas cohérents entre eux, que ce soit au niveau des chipsets ou des personnages. Le shading est complètement différent. Enfin, l’utilisation de fogs ne donne absolument pas l’effet voulu en matière d’ambiance.
Seul les graphismes au niveau des combat sauvent, parce que l’auteur a utilisé la base de King of Fighters (jusqu’au XI), en la modifiant pour ses personnages.
AWARDS MINEURS
Univers : 1/5
Dyhort où comment prendre les univers d'énormément de manga, sans regarder la cohérence entre eux.
On mélange du Full Metal Alchemist, du Naruto, du Hunter X Hunter etc... pour donner un truc sans saveur auquel on s'ennuie et s'indigne devant l'illogisme de l'oeuvre.
Personnages : 1/5
Le bon point est qu'on suit trois points de vue, un peu comme Shining Force 3 ou Suikoden 3 avec leur
Trinity Sight System. Cependant, et cela est fort regrettable est que, dans le scénario, presque rien
ne lie les trois personnages principaux.
Autant que, dans Suikoden 3 par exemple, deux personnages étaient liés par la haine, car ils étaient dans deux camps opposés et liés par un personnage secondaire mais important, là, on a rien du tout. Et le reste du casting secondaire frise l'inutilité.
Le caractère est différent pour les protagonistes principaux, ce qui est un bon point… D’ailleurs, le seul…
Scénario : 1/5
Le scénario mélange à la fois du Naruto, du Hunter X Hunter, du Kingdom Heart etc...
Autant l'idée d'utiliser trois points de vue est excellente, car donnant davantage de mystère et de
complexité dans le scénario, autant la manière de la faire pèche car on tombe dans le classique absolu.
Level-design : 1.5/5
Le principal défaut du level-design vient du fait que les maps sont inutilement grandes. Par exemple,
le village du début est la définition parfaite de map trop grande et de murs invisibles. La définition même
d'un village est que, souvent, les habitations sont regroupées ensemble surtout si l'économie du village
ne vient pas de l'agriculture. De plus, les fogs sont mal utilisés et ne donnent pas du tout l'ambiance
désirée par l'auteur.
Humour : 0/5
Ah bon, il y a de l'humour ? Je n'en ai pas vu du tout...
Systèmes : 1.5/5
Un système se doit être simple, clair et sans superflu. Dans Dyhort, voilà comment faire ce qu'on ne
doit pas faire. Pas de tutoriel, tout est obscurescence et l'ergonomie n'est vraiment pas adaptée.
Tout se base sur le visuel mais cela ne donne aucune indication. Le beau ne donne pas le fonctionnel !
Cependant, le fait d’avoir différents gameplay qui se complètent bien augmente un peu le niveau.
Originalité : 0/5
Le fait de pomper sur divers mangas et animés, même sur les noms, et sans que ce soit un fan-game,
n'est pas du tout une originalité. Et niveau système non plus.
Conclusion : Dyhort joue trop dans la non-originalité et cela se sent. On n’est absolument pas perdu au niveau histoire ou parfois même gameplay. Mais, cela donne au jeu aucune saveur et aucune profondeur. Si, selon le titre, il y a eu trois autres opus avant… Bah, autant dire que j’aimerai pas les faire non plus…
Note Globale : 1/5
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